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  • EHPAD Goussainville (95)

    10-02-13

    Introduire de l’urbanité, c’est-à-dire du savoir-vivre ensemble, dans un environnement pavillonnaire, par le biais d’un EHPAD, telle est l’ambition
    de ce projet. C’est pourquoi le bâtiment établit un dialogue avec l’espace de la rue vers laquelle il s’ouvre largement. Son implantation permet de créer une sorte de place, séparée de l’espace public par une clôture légère et transparente. L’enveloppe en bois local vient souligner la volonté d’en faire un lieu de socialisation accueillant.

  • EHPAD Longpont-sur-Orge (91)

    09-25-13

    La restructuration lourde du Pavillon d’Orléans a permis d’aménager 35 chambres autour de la cour. Ce Pavillon fait partie des communs du château de Lormoy, ayant appartenu à la famille de raffineurs Say et servi de résidence d’été à Léopold II, roi des Belges, en 1906 et 1907. Sur chaque niveau la salle commune est au cœur du dispositif, espace ouvert et lumineux qui facilite la sociabilité et assure un cadre serein aux résidents.Toutes les circulations disposent d’un éclairage naturel.

  • Clinique Alleray-Labrouste Paris (75)

    09-22-13
  • EHPAD Vaugrigneuse (91)

    04-02-12

    Extension et restructuration du château de la Fontaine aux Cossons (début XXe siècle). Chambres ouvrant sur le paysage rural et le chemin de randonnée, visant à révéler le lit d’un ancien ruisseau.

    Technique constructive basée sur l’utilisation de prémurs et le développement de panneaux préfabriqués en béton, teintés dans la masse.

  • Résidence seniors Mézy-sur-Seine (78)

    04-01-12

    Mézy-sur-Seine est une commune de 2000 habitants située dans le parc naturel régional du Vexin français.
    La résidence seniors réunit une maison de maître du XIXe siècle et une construction récente, dissimulée pour profiter de la déclivité naturelle du terrain et du jardin et pour minimiser l’impact sur le paysage environnant. Les chambres s’ouvrent vers le sud et offrent des vues vers le jardin. L’organisation spatiale et le principe structurel qui en découle sont facilement lisibles.

  • Résidence Sociale Paris (75019)

    01-18-12

    LOGIREP souhaite réaliser une résidence sociale à l’angle de la rue Curial et de la rue Labois Rouillon Paris 19ème. Ce terrain est situé dans un quartier très hétérogène : immeubles de petite taille fin XIXème, début XXème et immeubles importants ou très importants des années 1970-1990. Le projet organisé autour d’un noyau central se développe sur les deux rues. Les logements prennent vue soit sur l’espace public, soit sur une cour intérieure. L’organisation du plan permet de transformer plusieurs studios en appartement. L’architecture du bâtiment est déterminée par trois éléments :

    – Les règles urbaines et particulièrement la possibilité de retourner le volume de la rue Curial R+4 sur la rue Labois Rouillon R+2.

    – La volonté du maître d’ouvrage de réaliser un ouvrage pérenne et répondant à la norme RT 2005.

    – La décomposition des façades est suggérée dans le PLU de Paris : le rez-de-chaussée qui contient essentiellement les services, le corps du bâtiment R+4 et R+2 dessinés aux logements, et un couronnement. Le dernier étage est surhaussé d’une structure portant de la végétation ; il pourrait devenir un lieu d’agrément pour les habitants, puisque l’escalier aboutit à ce niveau.

  • EHPAD Draveil (91)

    09-25-11

    Les intentions du projet sont les suivantes :

    Créer un bâti intégrant les contraintes urbaines et topographiques, en s’insérant au mieux dans l’environnement urbain des alentours.

    Eviter la création de masque vis-à-vis des propriétés voisines.

    Simplicité de lecture et de compréhension de l’organisation du bâtiment pour les utilisateurs

    Un bâtiment adapté aux handicaps des personnes âgées.

    L’établissement projeté comportera 37 chambres et 38 lits.

    Le nouveau bâti adoptera la volumétrie de la construction existante et se situera au centre du terrain.

    L’ EHPAD (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) se compose de trois volumes comportant un rez-de-jardin, un rez-de-chaussée et un premier étage.

    L’ensemble est recouvert d’une toiture terrasse accessible depuis un escalier métallique extérieur. Ces terrasses seront en majeure partie végétalisée. Conformément au code du travail, elles seront munies de garde-corps rétractables. La petite terrasse du R+1, par laquelle transite l’escalier ne sera pas accessible. Une grille, dans le prolongement de l’escalier empêche l’accès et sécurise le passage des utilisateurs. L’escalier dessert directement la terrasse végétalisée.

    Deux parallélépipèdes en retrait sur l’avenue Gambetta et l’avenue Granger de même dimension et volumétrie et un troisième volume plus petit effectue la jonction entre les deux précédents. Le retrait par rapport aux avenues permet de trouver jardins et aire de livraison sur l’avenue Granger et places de stationnement et jardin sur l’avenue Gambetta. Le corps central faisant jonction permet de trouver 2 patios au rez-de-jardin permettant un apport de lumière au cœur des 2 bâtiments. L’entrée principale s’effectuera coté avenue Granger et une entrée annexe coté avenue Gambetta.

    Les façades du projet sont rythmées par l’alternance de bandes verticales composées de menuiseries bois et (ou) de panneau composite bois et d’un treillage en bois fait de tasseaux verticaux.

    Les façades du corps central donnant sur les patios adoptent un rythme légèrement différent. Celles-ci sont  beaucoup plus éclairées alternant menuiseries et panneaux composites bois.

    Les menuiseries en bois sont toutes munies d’allèges vitrées fixes.

    Les deux entrées sont marquées par un redent au niveau du rez-de-chaussée.

    L’entrée piétonne et les livraisons se feront Avenue Granger et celle des véhicules Avenue Gambetta.

    Nous conservons la majorité des arbres composés essentiellement de résineux et de platanes. 3 arbres vont être abattus pour permettre la construction de l’EHPAD et remplacés par des prunus qui agrémenteront les places de stationnement Avenue Gambetta.

    Les deux patios du rez-de-jardin seront engazonnés et plantés d’arbustes.

    La majeure partie de la terrasse (sauf terrasse technique) sera recouverte de végétalisations extensives.

    Une partie du pignon coté Est sera agrémenté de plantes grimpantes, en l’occurrence du lierre.

  • Logements collectifs – Grenoble (38)

    05-11-11

    La Ville de Grenoble a engagé des études pour réaliser une opération d’habitat sur le triangle délimité par les rues Lucien Andrieux, Francis Jammes et Alfred de Vigny (2 ha).

    Cette opération doit accompagner la reconstruction-démolition, sur le même site, de la résidence SONACOTRA.

    Une résidence sociale de 227 logements est construite à l’extrémité sud des terrains. Elle remplace l’ancien foyer. Elle accueille dans des logements autonomes des jeunes en formation, des personnes isolées avec ou sans enfants, des couples sans enfant, des travailleurs immigrés vieillissants… 

  • Logements collectifs – Grenoble (38)

    01-18-11
  • Résidence étudiants Evry (91)

    12-10-09

    Les 115 logements étudiants sont en partie installés dans des bâtiments de la ferme de Petit-Bourg à Evry, dont le nom est lié à Amand Decauville (père de Paul, inventeur d’un système de voie ferrée qui porte son nom) et à celui du pépiniériste Georges Delbard.
    Le programme s’insère discrètement entre un tissu pavillonnaire, un château d’eau et une barre de logements des années 1950.
    Un EHPAD est implanté dans une partie des bâtiments existant sur la parcelle, ce qui favorise une mixité générationnelle.