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  • EHPAD Asnières-sur-Seine (92)

    02-22-23

    Ce programme s’inscrit pleinement dans les préoccupations actuelles de notre agence. Nous souhaitons concevoir une architecture simple, d’une grande rigueur constructive qui se traduirait par des  bâtiments exemplaires en terme de qualité d’usage et de développement durable. S’intégrant dans le tissu urbain très dense d’une commune qui compte près de 17 000 habitants/km², l’EHPAD est conçu comme un bâtiment compact. Les deux unités Alzheimer / UPPD sont réparties ainsi: une au rez-de-chaussée (10 lits), l’autre au 6e étage (15 lits). La volumétrie facilite le lien avec les typologies urbaines environnantes. Le bois, deuxième peau chaleureuse, filtre le regard et la lumière. Le contrôle des apports solaires se fait par les brise-soleil. Les balcons, accessibles depuis les chambres, constituent un prolongement agréable de l’espace de vie, tout comme la terrasse située au dernier étage qui donne à voir le paysage du Grand Paris.

     

  • EHPAD Maisons-Laffitte (78)

    02-27-22

    La réalisation est implantée à Maisons-Laffitte dans une parcelle triangulaire, face au plus ancien hippodrome de la région parisienne, qui s’étend sur la rive nord de la Seine. Situé dans une zone à risque du PPRI (Plan de Prévention des Risques d’Inondations), le terrain se trouve dans le « petit parc » du château de Maisons-Laffitte. Il est bordé par un espace inscrit au titre des Monuments Historiques. Le parti pris architectural et urbain a été de mettre en valeur la vue sur le paysage environnant (l’hippodrome et la Seine) et les caractéristiques formelles de la parcelle. Ces contraintes ont permis d’éviter la monotonie d’un alignement sur rue en cadrant la vue depuis chaque chambre. Une terrasse panoramique accessible surplombe le champ de courses. L’accentuation de l’horizontalité et l’utilisation du bois permettent d’inscrire discrètement le bâti dans ce paysage. Les espaces communs et de rencontres s’organisent entre patio et jardin et jouissent d’une double orientation. Par ailleurs, les circulations bénéficient d’éclairage et de ventilation naturels, ce qui rend plus lisibles les usages des espaces intérieurs par les utilisateurs.
    D’un point de vue constructif, il s’agit de préfabrication lourde et d’utilisation du système Balloon Frame.

  • Clinique Jules-Vallès Athis-Mons (91)

    09-07-21

    Le projet d’extension augmente la surface bâtie de 1940.5 m2, surface correspondant à la création d’une aile, côté Sud-Ouest sur les niveaux R+1 et R+2, la création de parking d’une capacité de stationnement de 102 places sur trois niveaux, rez-de-chaussée haut, rez-de-chaussée bas et rez-de-jardin (dont 2 niveaux semi-enterrés).

     

    Le projet doit permettre principalement :

    1) Le réaménagement du service d’hémodialyse.

    2) Le réaménagement du service des consultations.

    3) La création de 7 chambres adaptées aux PMR : 

    4) Une nouvelle gestion des approvisionnements et du stockage du service d’hémodialyse et consultations.

    5) Une nouvelle gestion des archives.

    7) L’optimisation des flux horizontaux et verticaux.

    8) Le réaménagement du hall, 

    9) La réation en extension de son service administratif, des bureaux et de la buanderie.

    10) La réation en extension d’un  service l’ambulatoire.

    11) Le réaménagement de la cour de stationnement avec la création d’un parking de 120 places de stationnement sur trois niveaux, rdc haut,  enterrés les niveaux rdc bas, rdj et ses contrôles d’accès.

     

    Cette extension s’aligne sur la façade existante formant ainsi un bâtiment en U. Afin de préserver la circulation des véhicules de secours, la façade latérale est implantée en retrait de la limite séparative. 

    Le choix du complexe des façades de l’extension permet une fluidité de lumière et de transparence tant par son volume que par sa hauteur.

    Le complexe est composé de deux peaux, la première transparente sur toute sa hauteur et la seconde est composée suivant l’aménagement intérieur d’une partie pleine et d’une partie vitrée.

     

     

  • EHPAD Sarcelles (95)

    07-30-18

    Le bâtiment s’inscrit sur une parcelle en lisière de l’Impasse des Saules. Son gabarit en R+1 participe à l’harmonie du paysage résidentiel.
    Les accès sont réunis le long de la façade Ouest. Une galerie constitue l’élément de protection de l’ensemble des accès : EHPAD, accueil de jour et services.
    Des locaux ouverts au public sont positionnés de façon stratégique entre la galerie et l’EHPAD, alliant ainsi sécurité et ouverture de l’établissement sur la Ville. La distribution des locaux s’organise autour de deux patios. Les espaces de vie, salons et salles à manger sont positionnés au centre et sont donc accessibles d’une façon équilibrée par tous les résidents.
    La fenestration des chambres est généreuse. Un système d’occultation régule la lumière et limite les apports de chaleur.
    Le bâtiment, conforme à la Réglementation Thermique 2012 est réalisé en briques isolantes, matériaux dont l’inertie participe au confort thermique des résidents.
    Les couleurs des matériaux, contrastées et non agressives, facilitent le déplacement des personnes dans la résidence.
    Les arêtes vives sont proscrites, les barres d’appui ou mains-courantes sont largement étendues sur le parcours afin de soulager la personne et retarder l’usage du déambulateur.
    La maison se veut simple, compacte, lumineuse, garante de la vie, tantôt sociale, tantôt personnelle de ses occupants.


    LA FORME DU JARDIN présentera avant tout une accessibilité aisée à tous ; les personnes doivent pouvoir se déplacer en fauteuil ou à l’aide de matériel (canne, déambulateur…) sans obstacle. Le revêtement de sol sera le plus lisse possible sans glisser, sans dévers ni pentes.
    Le regard devra pouvoir suivre le cheminement depuis l’entrée du jardin sur sa plus grande longueur.
    Le parcours se fera à travers les plantes odorantes afin de stimuler au passage le plaisir de retrouver les parfums connus.

    LES ESSENCES seront choisies pour répondre aux besoins des ateliers et des promenades, d’une part, et pour délimiter, par leur emprise, des zones référentielles pour les résidents (atelier, promenade, cueillette…)

    Ateliers : prévoir des plantes potagères et aromatiques à planter au fil des saisons dans les jardinières.
    Promenade : implanter des bordures de plantes très parfumées non toxiques de développement moyen inférieur à 1 m (lavande, romarin…) pour accompagner les résidents dans leurs déplacements.
    Cueillette : prévoir une palette de mixed-border pour les bulbes et fleurs à couper tout au long de l’année ainsi que des palissages de fruitiers nains pour faciliter la cueillette des fruits (pommiers, poiriers, pruniers et figuiers) et des plants de petits fruits rouges, le long des lignes de clôture entre PASA et accueil de jour…
    Les clôtures sont à traiter de façon très marquée pour que le regard s’appuie sur elles et pour qu’elles servent de support à différentes plantes grimpantes colorées et nourricières pour les espèces d’oiseaux de la région ou d’abri pour la faune locale.

    Enfin et pour conclure, il est indispensable de planter des arbres de haut jet, outre la conservation de ceux qui sont en place, afin de protéger ces jardins du soleil et des vents dominants.

  • Logements Bois-Colombes (92)

    07-30-18

    Le projet s’inscrit sur une parcelle qui s’étire en cœur d’îlot. D’un côté, des locaux d’activités, de l’autre de l’habitat individuel ou collectif à l’angle des deux rues.

    Les accès au terrain depuis le domaine public s’effectuent par deux rues : d’un côté une parcelle libre de toute construction, de l’autre une parcelle occupée aujourd’hui par un petit pavillon.

    L’opération consiste donc à optimiser les parties constructibles (dans la bande de 15 mètres en priorité) et d’étudier en cœur d’îlot, en appui sur les mitoyens et dans le respect des prospects, un complément de constructions.

    Ainsi les constructions suivent ce principe et se décomposent en 3 bâtiments : 2 dans la bande de 15 mètres et l’autre en cœur d’îlot.

    L’annexe de la Mairie prend place au rez-de-chaussée, face à la place. Elle occupe la majeure partie de la façade.

    Son volume est traversant, permettant un accès PMR aisé depuis le parking à l’arrière du bâtiment.

    La dimension de ses baies vitrées lui confère son caractère institutionnel et participe à l’ordonnancement du projet.

    La parcelle s’étire en cœur d’îlot, cœur d’îlot bordé de locaux d’activités ou d’habitat résidentiel individuel ou collectif.

    Afin d’offrir une perspective, forme de perméabilité depuis la rue, l’accès unique aux logements s’effectue par une large grille sous porche laissant visible, depuis la place Jean Mermoz, le cœur de la parcelle. Il ne s’agit pas de « voir » mais de comprendre le lien morphologique entre la rue et cet espace résidentiel, de créer de la « porosité ».

    Nous avons souhaité que l’accès aux logements s’effectue depuis une seule entrée. Ainsi, tout le monde passe par cet accès qui distribue tous les locaux (services et logements) ; ce point devient le lieu de rencontre autour duquel nous avons implanté l’espace de jardin partagé et le local des vélos et poussettes.

    Lien collectif et distributif, il est à l’articulation des espaces collectifs et privés des trois bâtiments.

    Si l’accès parking se fait côté pavillon pour les véhicules, la sortie tant par le monte-handicapé que par l’escalier se fait par la cour. Aussi, nous profitons de cette disposition pour aménager en fond de parcelle un ensemble de caves en sous-sol.

    La dimension des baies de l’annexe de la Mairie imprime à la façade de l’immeuble son rythme.

    Les larges baies des logements, la faible hauteur de leurs allèges, le choix de grands châssis coulissants permettent aux occupants de transformer leur salon en grande loggia à la belle saison, ensemble d’interventions qui participent à la qualité d’usage des logements et à la performance environnementale dans la mesure où ces logements bénéficient d’un très bon éclairage naturel.

    L’emploi de la brique confère à l’angle de ces deux rues unité et qualité architecturale. Ainsi, qu’il soit construit en R+1+C ou R+3+combles, l’édifice puise sa force et son caractère dans les matériaux du bâtiment dominant contre lequel il s’appuie.

    Une attention particulière sera portée à la couleur de la brique retenue pour toutes les façades de façon à minimiser les phénomènes d’obscurité notamment sur les façades Nord.

    Le bâtiment A comporte 6 logements soit 6T2, 4 T3 et 1 studio.

    Le bâtiment B comporte 5 logements soit 4 T2 et 1 T3

    Enfin, le bâtiment C réunit les petits logements soit 6 T1.

    Nous proposons aujourd’hui une distribution des appartements minorant les circulations pour offrir le maximum d’habitabilité dans les pièces.

    Nous avons souhaité, en pied des logements situés en rez-de-chaussée, créer des petits espaces privatifs, mais aussi et au centre de la composition, créer un petit jardin partagé qui sera, lui, fortement minéralisé, permettant aux familles de se retrouver pour des moments conviviaux.

  • Logements Viry-Châtillon (91)

    07-30-18

    La parcelle se situe dans une zone pavillonnaire composée de maisons à 1 ou 2 étages avec combles.

    Le projet comporte un logement sur 2 niveaux et un commerce avec des entrées distinctres sur chaque rue.

    Côté route de Fleury, le commerce bénéficie d’une grande vitrine s’ouvrant sur un parvis en béton balayé gris clair type Portand. L’espace est non clos en prolongement de celui de la parcelle voisine.

    Le parvis est planté de deux érables.

    Côté avenue de la Forêt, le logement a un jardin  en pelouse agrémentée d’un érable.

    Son entrée est en béton balayé type Portland.

    Les façades sont traitées en en béton soigné type portland. Un soin particulier sera apporté au calepinage des banches et des trous de banche ; Les menuiseries sont en  aluminium thermolaqué RAL 7035. Les garde-corps et clôtures  barreaudage thermolaqué RAL 7035. Enfin la toiture est en bac acier – finition zinc ton quartz

    Côté route de Fleury, le commerce bénéficie d’une grande vitrine s’ouvrant sur un parvis en béton balayé gris clair type Portand. L’espace est non clos en prolongement de celui de la parcelle voisine.

    Le parvis est planté de deux érables.

    Côté avenue de la Forêt, le logement a un jardin  en pelouse agrémentée d’un érable.

    Son entrée est en béton balayé type Portland.

    L’abri véhicule est une dalle sur 4 poteaux en béton gris clair.

  • EHPAD Puteaux (92)

    09-20-17
  • EHPAD et résidence séniors Haute-Isle (95)

    09-07-17

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  • Hôpital de campagne d’Abidjan (Côte d’ivoire)

    09-07-17

    Réalisation d’un centre médical d’une surface de 3 032 m2, divisé en 9 pavillons et comprenant les secteurs suivants :

    – Une halle centrale composée d’un patio qui permet le tri des patients, l’accès aux consultations, au laboratoire, à la pharmacie et à la radiologie, ainsi qu’au service d’urgence. Elle comprend également les bureaux des médecins.

    – A proximité de la halle centrale, le service administratif ainsi que la logistique. 

    – Un pôle gynéco-obstétrique comprenant des salles d’accouchement et de travail ainsi que deux pavillons d’hospitalisation d’un total de 24 lits.

    – Un pôle de service médical pouvant héberger 15 patients.

    – En bout de bâtiment, un auvent est aménagé pour l’accueil des familles.

    – Et détaché du corps central, un pavillon regroupe les équipements techniques permettant le bon fonctionnement du centre médical.

    Le bâtiment est construit à rez-de-chaussée sur terre-plein en maçonnerie traditionnelle et recouvert, par bâtiment, d’une toiture à deux pentes largement débordantes. L’ensemble du terrain est clos, l’accès étant contrôlé par un personnel de surveillance.

    Le bâtiment dispose d’équipements électriques de sécurité et d’une capacité tampon en eau froide.

  • Logements Lausanne (Suisse)

    09-07-16

    Comment concilier réponse urbaine et paysage ?

    Par la recherche d’une forme idéale qui doit interagir sur les deux registres de forme que sont le tissu urbain et le paysage, il s’agit de proposer une réponse simple, lisible en choisissant d’utiliser l’emprise constructible pleine et entière, et de l’emboîter dans le relief puis de le fractionner en trois blocs pour dégager un linéaire de façade suffisant à l’implantation de 90 logements. 

    Puis, il faut tirer de cette intervention visuelle, esthétique, une qualité environnementale et sociale par le soin apporté aux orientations, au relief, aux accès ; autant de conditions qui participent et déterminent le niveau de confort des résidents.

    La majeure partie des logements profitent d’une double orientation.

    Les failles sont orientées dans le sens des vents dominants.

    Elles sont aussi des lieux de vie; elles donnent accès, aux pieds des immeubles, à une rue intérieure qui met en relation l’ensemble des logements, des services, des activités, du stationnement et des abris.

    Elles prolongent l’espace urbain au cœur du projet. De par leur orientation, elles constituent, enfin, le lien paysager ; elles captent les éléments emblématiques du paysage, la pente herbeuse qui se glisse au-dessus des halls d’entrée et l’ancienne ferme qui apparaît au loin dans leur prolongement.

    Enfin, la composition des façades fait l’éloge de la verticalité et attire le regard vers la colline sur laquelle le projet s’appuie.

    Ainsi toutes les composantes du projet, contextuelle, environnementale et sociale prennent ancrage dans ce choix de partition qui pourrait être l’expression de notre projet comme une musique, les vides tenant lieu de silences.