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  • EHPAD Saint-Maur-des-Fossés (94)

    04-13-24
  • EHPA Toulouse (31)

    02-01-24
  • RSS Athis-Mons (91)

    02-01-24

    Le projet concerne la transformation de l’ancien Hôpital Privé Caron, son extension le long de la rue Caron en lieu et place de deux pavillons voués à la démolition et du réaménagement d’une maison bourgeoise sur un terrain adjacent situé côté rue d’Ablon.

    Compte tenu de la forte déclivité des deux rues le bâtiment se développe sur 7 niveaux.

    Le programme consiste à construire un ensemble immobilier comprenant :

    une résidence services seniors classée en 3ème famille B collective de 93 logements (le pavillon rue d’Ablon est classé en 2ème famille)

    un ensemble de services collectifs situés au RDC bas et destinés exclusivement aux résidents et à leurs invités, à savoir: piscine, restaurant, salle multimédia, bar, salon, gym, coiffure et soins esthétiques,

    un parc de stationnement réservé aux résidents en extérieur et/ou sous-sol.

    Le principe de départ de ce projet est basé sur la possibilité de conserver la structure de ce bâtiment composite et de lui redonner une unité architecturale qualitative.

    Pour ce faire, il a été décidé de déposer les façades existantes sur l’ensemble du bâtiment tant pour pouvoir modeler une nouvelle peau autour du projet mais pour créer son isolation thermique puisqu’elle est inexistante aujourd’hui…

    En second lieu, la totalité des éléments en superstructure dont les hauteurs sont supérieures à 0,60 m – adjonctions en périphérie du bâtiment principal – sera démolie.

    C’est cette action primitive qui prévaut pour que la qualité de l’écriture architecturale soit mise en évidence.

    Les façades seront couvertes d’un enduit ton pierre et les ouvertures seront agrémentées de balcons dont les garde-corps seront composés d’une tôle métallique – RAL 7037 – identique à celle des toitures.

    Une main courante, au-dessus de la tôle, finira l’ensemble tout en l’allégeant visuellement.

    Les façades du dernier volume rue Caron sera traitée en enduit gratté ton pierre foncée avec traitement en bossages aux angles et corniche en partie supérieure afin de créer une rupture de volume pour diminuer l’impacte de la masse bâtie.

    Le bâtiment, au sud du terrain, sur la rue Caron, construit à la place des deux pavillons, sera posé sur un parking enterré.

    Une partie de ce parking, sous la bande de retrait des 5 m est surbaissée pour permettre des plantations durables.

    L’emprise de ce parking englobera cette bande de retrait et une partie des deux parcelles concernées.

    Ce jardin se poursuivra jusqu’au bout du terrain, le long de la montée, en une suite d’espaces verts composites, alternant des couvres sols à fleurs plantés sur des formes de glacis pentus et des plates-bandes.

  • Logement Deuil la Barre (95)

    01-02-24

    Le terrain s’insère dans un tissu urbain diffus de type habitat pavillonnaire avec jardin à Deuil-La-Barre. Il est occupé par une maison d’habitation, un atelier de menuiserie et un abri de jardin-barbecue.

    L’atelier existant se développe sur un niveau en rez-de-chaussée. Il est constitué d’un bâtiment principal auquel se sont rattachés 3 extensions. L’ensemble de ces constructions date des années 1960-1970. Son emprise au sol actuelle, hors débord de toiture, ne sera pas modifiée. Ses toitures feront l’objet d’une simplification tout en respectant les hauteurs des constructions.

    La rénovation de l’ancien atelier de menuiserie se fera en respectant l’esprit du bâti existant : un atelier élégant par sa simplicité, discret par sa situation en retrait de la rue et au centre du jardin, et fonctionnel par la mise en œuvre de ses matériaux (pas d’ornementation). Le traitement des façades et de la toiture associe une écriture domestique et industrielle.

    L’ensemble des façades Nord, Sud, Ouest et Est seront traitées dans une unité d’aspect par un enduit ton pierre. Un petit soubassement sur les façades Nord, Sud et Ouest ; matérialisé en béton ton naturel et finition lissée-lasurée ; soulignera le bâtiment. 

    En raison des faibles pentes des toitures rénovées et afin de conserver certaines charpentes, l’utilisation du zinc est une évidence. Il permet de traiter l’ensemble des toitures d’un seul tenant, dans une unité d’aspect pour une meilleure intégration dans l’environnement. Le zinc teinte gris clair naturel sera mis-en-œuvre avec des joints debout.

    Le parti pris des façades est de valoriser la situation de l’ancien atelier en créant des vues et des transparences avec le jardin qui l’entoure. Ainsi les façades Nord, Sud et Ouest sont largement ouvertes grâce à des menuiseries toute hauteur. Deux ouvertures seront plus généreuses au Nord et au Sud pour connecter les espaces de salon vers le jardin et la terrasse Nord. Le matériau choisi (aluminium gris clair) garantira la durabilité des menuiseries tout en rappelant le zinc des toitures. Pour l’occultation de ces menuiseries, des volets roulants seront intégrés dans le complexe d’isolation extérieur des façades (de manière à rendre leur boitier invisible).

    Trois fenêtres de toits sont prévues sur l’un des pans exposé Nord de la couverture pour compléter l’éclairement intérieur de l’habitation et favoriser une ventilation naturelle. Ses fenêtres seront de teinte gris clair.

    Le projet de piscine enterrée s’implante dans le jardin côté Nord. . Une terrasse en bois, lattes ajourées, s’implante autour du bassin. Elle sera posée au niveau du sol naturel (sans marche). Le coffret technique de la piscine sera intégré dans un volume habillé. Il s’implante dans la continuité de la piscine et de la terrasse.

    Des panneaux solaires seront installés en toiture en complément de l’installation électrique du projet. Ils seront intégrés sur le second pan Sud du bâti rénové dont la situation au centre de la toiture n’est pas visible dans l’environnement proche ou lointain.

    Une cuve de récupération des eaux de pluie est prévue dans le jardin Nord pour l’arrosage du jardin.

     

  • RSS Bussy-Saint-Georges (77)

    01-01-24

    L’EHPAD « Les jardins de Bussy » existant est composé d’un seul bâtiment qui se développe en L parallèlement aux 2 rues le bordant.

    La restructuration des combles et l’extension permettront la création d’un étage d’hébergement de RSS (Résidences Service Seniors) qui totalisera 18 studios et 1 deux-pièces  (20 lits) avec leurs locaux associés (une salle multimédia, un salon/salle-à-manger, des rangements).

    L’extension permettra de réaliser la nouvelle circulation verticale et un espace de vie supplémentaire pour l’EHPAD aux 1er et 2ème étages.

    Le projet s’organisera à terme sur cinq niveaux.

    Le projet de restructuration et d’extension à pour volonté de requalifier le R+3 actuellement sous comble et difficilement exploitable (hauteur restreinte sous toiture) en un véritable étage. Le projet développera son propre langage architectural et formera un couronnement continu à la façade existante. La toiture sera modifiée dans sa forme et hauteur. Elle conservera  le principe de la toiture précédente avec ses 4 pants. Le chéneau de la toiture sera à 12.67m et le faitage est à 15.00m.

    L’escalier extérieur ouest sera démoli. L‘extension viendra s’implanter à sa place en retrait d’ 1.40m du bâtiment existant reprenant le même traitement de façade que l’étage restructuré. Elle accueillera le nouveau noyau ascenseur-escalier, des salons en étages et l’entrée de la RSS. Un portail sera installé en face de l’entrée de l’extension pour permettre un accès spécifique aux résidents de la RSS depuis la Cour du pavillon de chasse.

    Le jardin sera retravaillé avec une partie dédiée à l’EHPAD (l’arrière du bâtiment) et une partie pour les habitants de la RSS (la partie ouest) qui sera remaniée.

    Une partie de la dalle en enrobé sera démolie et remplacée par de la pleine terre et des plantations. La partie conservée de la dalle en enrobé sera redéfinie comme stationnements véhicules pour les résidents de la RSS. Le nouveau parc de stationnement sera pourvu d’un portail d’accès véhicules depuis la Cour du pavillon de chasse.

    L’escalier extérieur Nord sera prolongé pour permettre l’accès au R+3.

    Les façades de l’extension et de la restructuration du dernier étage seront rythmées par des poteaux en métal thermolaqué (ton gris anthracite) et soulignées par des bandeaux horizontaux en métal thermolaqué (ton gris anthracite) au premier plan. Les menuiseries s’insèreront entre les poteaux en alternance avec un parement brique pour les parties opaques. L’étage est traité comme un attique couronnant l’édifice.

    L’extension adopte les mêmes registres : les bandeaux horizontaux, les poteaux rythmant le bâtiment et les fenêtres avec une allège en brique de parement. Au rez-de-chaussée un local poubelle à l’arrière et un auvent métallique thermolaqué (ton gris anthracite) offrant une entrée abritée, complètent le volume de l’extension. Le local poubelles sera traité en brique de parement.

    Les  toitures seront en bac acier ton gris anthracite et seront pourvues de chéneaux périphériques, des chéneaux au décentes d’eaux pluviales existantes les évacuations seront caché dans l’épaisseur des poteaux de l’extension.

  • EHPAD La Fruitière Marseille (13)

    12-16-23

    Le projet  consistée en une rénovation importante de l’E.H.P.A.D LA FRUITIERE. Ainsi, en concertation avec les services compétents en termes d’accessibilité et de sécurité, le projet prévoit notamment :

    La remise aux normes d’accessibilité de l’ensemble de l’établissement, et notamment de toutes les chambres en ce comprises les salles d’eau (réfection des sols, murs et plafonds, relamping et remplacement des appareils sanitaires),

    La réouverture des deux chambres  désaffectées  afin de réduire le nombre total de chambres doubles, 

    L’agrandissement de certaines chambres par la redistribution du cloisonnement, notamment en utilisant de locaux adjacents lorsque cela était possible

    La mise en place d’un système réversible assurant le rafraîchissement et le chauffage dans chacune des chambres.

    Dans les espaces communs :

    La réfection des circulations (murs, faux-plafonds et éclairage conforme) de tous les étages,

    La création d’un sanitaire spacieux et accessible à proximité de la salle à manger en lieu et place d’une salle de bains collective non utilisée,

    Création de nouveaux vestiaires (avec salle de douche, wc et système de rafraîchissement) au R+1,

    Création d’une salle de repos / repas (comprenant notamment un système de rafraîchissement) au R+1.

    La création d’un véritable salon d’accueil au rez-de-chaussée, et l’installation d’une banque d’accueil accessible aux personnes à mobilité réduite,

    La création de locaux dédiés au linge sale et au linge propre dans les étages, en relais de la buanderie située au Rez-de-chaussée,

    Le projet s’accompagné également d’une réflexion importante sur les extérieurs. Les espaces seront ainsi plus lisibles :

    Réfection de la voie d’accès et du parking,

    Remise en fonctionnement du portail sur rue avec mise en place d’une visiophonie,

    Aménagement d’un emplacement de stationnement à proximité de l’entrée avec création d’un cheminement accessible jusqu’à l’entrée de la résidence,

    Nettoyage et ravalement des façades et des murs de clôture,

    Réfection de l’étanchéité de la toiture terrasse et pose d’une ligne de vie facilitant l’entretien de cette dernière,

    Remise en état du jardin : nettoyage, élagage – taille des arbres et arbustes – suppression des rejets.

  • Logements Evry (91) – Decauville

    12-01-23

    Le maître d’ouvrage entend restructurer un immeuble (à l’heure actuelle sans affectation) en logements et créer autour des maisons de villes.

    Le projet comportera 20 logements répartis de la manière suivante :

    • 12 logements dans le bâtiment existant

    • 8 logements dans les maisons de villes

    Les maisons de villes seront implantées en bande à 6.00m autour du bâtiment existant formant un L.  Elles s’aligneront sur la façade du bâtiment existant sur le boulevard Decauville.

    Le bâtiment existant a participé à la composition symétrique du bâti de part et d’autre de l’allée Louise Bathilde de Bourdon. Cet ensemble participant à l’empreinte historique de l’ancien château de Petit-Bourg dont il ne reste aujourd’hui que les conciergeries, une partie des communs (occupé aujourd’hui par la résidence étudiante) et les anciennes douves qui marquaient l’entrée de la partie privative du château.

    Ces traces aujourd’hui disséminée participent autant à l’empreinte historique de l’ancien édifice qu’à la  composition architecturale marquant le paysage.

    De ce constat, et comme cela a été mené sur la partie gauche de l’allée Louise Bathilde de Bourdon, notre projet s’attache à préserver les éléments patrimoniaux mais aussi à les accompagner en redéfinissant leur rapport avec leur environnement à travers leur nouvelle destination.

    L’écriture des petites maisons en bande marque notre volonté de construire et composer une hiérarchie. Le bâtiment existant, par sa hauteur et son positionnement central domine les nouvelles constructions plus basses. L’écriture minimale des maisons favorise la lisibilité entre ancien et nouveau et cela à partir de deux éléments : la verticalité affirmée et continue des baies et l’unité dans la nature et la couleur du ravalement des façades.

    L’aménagement paysager de la parcelle s’organise en séquences le long de l’axe Ouest-Est, de la plus urbaines à la plus végétalisée :

    • Les logements sont bordés au nord par les jardins privatifs, et au sud par un mur à pêches ainsi qu’une allée cavalière. S’insérant entre la limite de propriété au nord et les maisons de villes, les jardins privatifs seront engazonnés et plantés d’arbustes de petites tailles (érables Bloodgood, érables Tropenburg et érables Orange Dream). L’allée cavalière plantée de tilleuls sera quant à elle préservée et restituée dans sa partie centrale par l’ajout de gravier de rivière. De plus un espace vert au sud du bâtiment existant sera, lui aussi, préservé. Il sera délimité de l’allée cavalière par un mur à pêches d’une hauteur de 2m.

    • Le parc de stationnement sera traité en béton gazon et la voie de circulation en béton désactivé ou en stabilisé. Une rangé de 7 arbres bordera sur la partie Nord du parc de stationnement.

    • A l’arrière de la parcelle se développe un espace vert traité à la façon d’une prairie,  graminées et herbacées seront agrémentées de fleurs 

  • Structure d’accueil Alzheimer Etretat (76)

    11-13-23

    Le bâtiment existant de la Villa Heurtevent (XIXème siècle) est rénové à l’identique sur le plan de ses façades, de son emprise ou de son implantation. 


    L’insertion architectural de la maison Carpe Diem se fera également par la forme du bâti. Le projet réhabilite la Villa Heurtevent existante et s’étend dans la prolongation de ce bâti côté Est. 

    L’extension conserve les mêmes hauteurs de niveau (RDC et R+1) et s’inspire du même langage architectural. 

    L’articulation entre l’existant et le neuf se fera par une verrière (en rappel de la verrière existante de l’escalier de la villa Heurtevent) et qui permet d’accueillir les visiteurs, de distribuer les différents volumes et de faire rentrer la lumière naturelle dans le bâti.


    le projet de Maison Carpe Diem s’implante au Sud de la maison de retraite Etoile du Matin existant sur la seconde parcelle de la propriété. 

    L’extension de la Villa Heurtevent est toute en longueur parallèlement à la maison de retraite Etoile du Matin.

    Les matériaux brique rouge pour les façades et tuile plate en terre cuite pour la toiture sont mis à l’honneur dans la continuité du bâti existant et de l’architecture Etretataise.

    L’extension conserve les mêmes hauteurs de niveau (RDC et R+1) et s’inspire du même langage architectural. 

    L’articulation entre l’existant et le neuf se fera par une verrière (en rappel de la verrière existante de l’escalier de la villa Heurtevent) et qui permet d’accueillir les visiteurs, de distribuer les différents volumes et de faire rentrer la lumière naturelle dans le bâti.

    Le jardin sera nettoyé et légèrement modifié autour de la Villa Heurtevent et de son extension afin d’accueillir une terrasse accessible et un petit parc de stationnement hors sol. Ces espaces bénéficieront du même traitement paysagé que le jardin. De nouvelles plantations endémiques seront aussi privilégiées.




  • EHPAD Bourg la Reine (92)

    11-13-23

    

  • RSS Coeuvres et Valsery (02)

    11-08-23

    Le château de Coeuvres, datant du XVIe siècle, est à l’origine un quadrilatère flanqué de quatre pavillons d’angle, basse-cour avec communs entouré de douves.

    Lors des combats de 1918, il se livre à Cœuvres d’intenses et le château est  partiellement en ruine.

     

    Il s’agit actuellement d’un EHPAD qui occupe la totalité du château. Elle se développe sur un étage avec quelques éléments en R+2 sous les toits.

    L’édifice est en pierre de taille, avec corniches, de grandes baies rectangulaires à meneaux avec frontons en pierre.

    Les toitures sont en ardoise avec de grandes lucarnes pour la plupart. 

    Il est entouré de douves franchies par des ponts en pierre dont un ancien pont-levis sur la rue du Château.

     

    L’accès sera déplacé sur la rue Gabriel d’Estrées afin de rendre l’établissement accessible aux personnes à mobilité réduite.

    L’entrée se fera  par la cour qui sera paysagée.

    L’extension s’implantera sur le cryptoportique de part et d’autre du pavillon Gabriel d’Estrées. Elle sera traitée en enduit ton pierre, avec un toit en zinc à faible pente.

    L’établissement restructuré accueillera 33 logements pour séniors. Cet établissement sera classé en 2ème famille B avec des locaux ERP de 5ème catégorie.