EHPAD Longpont-sur-Orge (91)

La restructuration lourde du Pavillon d’Orléans a permis d’aménager 35 chambres autour de la cour. Ce Pavillon fait partie des communs du château de Lormoy, ayant appartenu à la famille de raffineurs Say et servi de résidence d’été à Léopold II, roi des Belges, en 1906 et 1907. Sur chaque niveau la salle commune est au cœur du dispositif, espace ouvert et lumineux qui facilite la sociabilité et assure un cadre serein aux résidents.Toutes les circulations disposent d’un éclairage naturel.

EHPAD Laon (02)

Le projet permet de valoriser la relation qu’entretient la maison de retraite avec le grand paysage et son parc et d’améliorer son insertion urbaine en qualifiant l’entrée de ville. Le bâti se développe sur un seul niveau et sa volumétrie est imaginée en référence à la maison individuelle, afin d’introduire une dimension domestique, aussi bien en termes d’organisation spatiale que de forme urbaine. Le projet est donc imaginé comme un morceau de ville et comme un liant qui assure la cohésion humaine, favorise la communication et les échanges et fédère les bâtis disparates. En tant que morceau de ville, l’EHPAD est structuré autour de plusieurs jardins-squares.Les places, espaces où se déroulent les différentes activités et animations, les salles à manger, les salons, donnent sur ces patios et sont toujours au cœur du dispositif, qu’il s’agisse de l’ensemble de l’EHPAD, des nouvelles unités d’accueil, Alzheimer et psycho-gériatrie, ou de la future extension. Le même principe est ainsi décliné à différentes échelles.

EHPAD Saint-Martin-de-Fontenay (14)

 Il s’agit d’un programme qui s’adapte aux dernières dispositions d’accompagnement et de prévention des nouvelles pathologies, maladie d’Alzheimer et toutes formes de démences séniles. Il a été imaginé afin que les espaces s’adaptent parfaitement au fonctionnement de l’établissement dans le respect et pour le bien être de ses occupants.

 Afin de garantir la sécurité et la surveillance des patients, le projet a été conçu comme un lieu refermé. Un principe d’espaces clos qui s’applique aussi bien à l’intérieure en regroupant les chambres autour des unités de vie, qu’à l’extérieur en regroupant les bâtiments autour d’un patio.

 Cet espace est organisé comme un cloître propice à la détente comme à la promenade en évitant toute possibilité de cul de sac. Son calage altimétrique détermine l’ensemble de l’Implantation des constructions pour présenter un niveau uniforme du rez-de-chaussée. Il détermine également le niveau des jardins extérieurs clos pour permettre la libre déambulation des patients en supprimant toute possibilité de franchissement.

Les constructions abritent:

un espace réservé à l’accueil et à l’administration,

un espace de restauration réservé également à l’entretien et à l’intendance,

deux unités de vie Identiques et disposés symétriquement comprenant, un local de soins, les chambres, l’unité de jour(salon salle à manger), un coiffeur et les locaux des différents intervenants médicaux et des sanitaires et pièces de services.

L’insertion dans le site est respectueuse de l’esprit du parc.

Le projet étant réalisé sur un terrain relativement vallonné, son implantation résulte à la fois de la volonté de limiter au maximum les mouvements de terre, tout en conservant une planimétrie satisfaisante et en permettant de régler les impératifs liés aux réseaux.

Les façades sont largement vitrées afin de permettre au x pensionnaires d’être visuellement en lien direct avec le patio ainsi que le parc.

Le bâtiment habillé d’une peau en bardeaux de bois se marie harmonieusement avec les bâtiments adjacents.

Implanté en fond de parcelle, aux abords de l’ancienne route départementale n0233 pour permettre la réalisation d’extensions futures, le projet est accessible depuis la rue du Canada pour ne pas créer d’accès nouveau depuis la départementale n0562, conformément au POS.