EHPAD Ablis (78)

L’EHPAD s’organise autour de sa relation avec la ville. L’espace de vie, la « place du village », est associé au parvis d’entrée et au jardin. Une perméabilité s’installe par son biais avec le patio central, qui crée des liens visuels entre les résidants des diverses unités.

Logements Montreuil (93)

Dans le Haut-Montreuil, à proximité des réservoirs d’eau, cette opération de logements vise à créer une connexion avec la future ZAC Boissière-Accacia,
afin de mieux intégrer ce quartier au reste de la ville.

Les logements s’organisent en 5 plots, installés en respectant la topographie du lieu, de façon à profiter au maximum de l’ensoleillement nature et de la double orientation.

Dans le jardin, une partie est aménagée en jardin humide. Environ la moitié des logements est constituée de logements sociaux.

L’opération comprend 5 studios, 17 T2, 43 T3, 28 T4 et 2 T5. Il est prévu que les bâtiments soient labellisés BBC.

Logements collectifs – Grenoble (38)

La Ville de Grenoble a engagé des études pour réaliser une opération d’habitat sur le triangle délimité par les rues Lucien Andrieux, Francis Jammes et Alfred de Vigny (2 ha).

Cette opération doit accompagner la reconstruction-démolition, sur le même site, de la résidence SONACOTRA.

Une résidence sociale de 227 logements est construite à l’extrémité sud des terrains. Elle remplace l’ancien foyer. Elle accueille dans des logements autonomes des jeunes en formation, des personnes isolées avec ou sans enfants, des couples sans enfant, des travailleurs immigrés vieillissants… 

Résidence étudiants Evry (91)

Les 115 logements étudiants sont en partie installés dans des bâtiments de la ferme de Petit-Bourg à Evry, dont le nom est lié à Amand Decauville (père de Paul, inventeur d’un système de voie ferrée qui porte son nom) et à celui du pépiniériste Georges Delbard.
Le programme s’insère discrètement entre un tissu pavillonnaire, un château d’eau et une barre de logements des années 1950.
Un EHPAD est implanté dans une partie des bâtiments existant sur la parcelle, ce qui favorise une mixité générationnelle.

MELUN (77)

Le futur centre technique municipal  accueille :

– stationnement bus, 18 remorques, et 12 véhicules légers,

– 8 boxes grillagés,

– un magasin général

– une espace bureaux aménagée sur la mezzanine

– un parc de stationnement extérieur de 30 places

Le nouveau centre est traité en bardage ondulé inox, les sheds et les  portiques d’entrée en polycarbonate translucide

Le bâtiment existant  sera habillé d’un bardage ondulé inox poli.

 

Logements Fontainebleau (77)

L’immeuble forme l’angle entre la rue Guérin et une place carrée. Imaginé en brique afin de s’intégrer dans son environnement, dont il se distingue pourtant par sa volumétrie, le bâtiment regroupe les 8 logements (dont les surfaces sont supérieures aux standards en vigueur) en deux plots. Les appartements bénéficient d’une double, voire d’une triple orientation.

EHPAD Boissise-la-Bertrand (77)

Situé dans le centre d’une commune d’un millier d’habitants, entre la Seine et la forêt, l’EHPAD dialogue avec son environnement grâce aux transparences, aux doubles orientations et aux percées visuelles qui ont été ménagées, y compris dans la galerie de service.

 

EHPAD Fontenay-Trésigny (77)

Situé au centre d’un bourg briard qui compte 5000 habitants et dont il respecte l’échelle, l’EHPAD est visible depuis la place de l’église et le château du duc d’Epernon. L’espace intérieur s’organise autour du jardin ménagé en cœur d’îlot. Les deux UPPD occupent une aile séparée.

EHPAD – Château Landon (77)

L’ensemble, aujourd’hui, se présente comme un pavé bâti dont le cœur s’ouvre sur une cour intérieure.

L’établissement est composé de plusieurs bâtiments de types  et de constructions différentes.

Le programme du projet consiste :

-à mettre en conformité l’établissement et son extension dans le cadre de l’accessibilité handicapés et des contraintes de sécurité incendie,

– à intégrer une salle de bains pour chaque chambre (actuellement : une salle d’eau pour deux chambres),

– à rendre les zones de vie accessibles aux personnes handicapées,

– à augmenter la capacité d’accueil en créant des chambres complémentaires dans une extension reliée au bâtiment existant,

– à créer une unité réservée aux personnes atteintes de la maladie d’Elsheimer (« UPPD »).

L’établissement projeté comportera 90 chambres, en totalisant 101 lits.

Pour le bâtiment existant, le parti architectural conserve l’esprit des masses existantes.

L’extension s’intègre discrètement sur le terrain, elle est parallèle à la façade nord-est du bâtiment existant.

Les modifications apportées seront les suivantes :

– extensions du bâtiment existant en rez-de-chaussée d’environ 1,50 mètres sur les façades sud-ouest, nord-ouest et nord-est,

– extension au nord-est reliée au bâtiment existant de 12 mètres de large et 50,40 mètres de long.

Les ajouts sur l’existant permettront d’unifier l’ensemble. Les façades des extensions seront traitées comme des surfaces planes et homogènes, en évitant toute modénature ou ouvrage venant en excroissance de ces surfaces.