EHPAD Trizay (17)

EHPAD Lagny (77)

L’implantation du bâtiment a été dictée par les contraintes urbanistiques et les constructions environnantes. Le bâtiment est positionné en milieu du site pour profiter au
maximum des apports solaires passifs et pour limiter les ombres portées sur les bâtiments avoisinants.
L’accès aux vues est privilégié pour les chambres et les lieux de vie des résidents.
Le classement au bruit des façades respectera ces exigences par la structure en béton plein et l’isolant exterieur notamment le long de la voie rapide.
L’éclairage nocturne prévu sera suffisant pour sécuriser les espaces extérieurs. Nous veillerons à limiter les consommations électriques des éclairages par un éclairage direct
et performant.

Le terrain retenu pour l’implantation du bâtiment, particulièrement enclavé, de forme parallélépipédique, est bordé sur ses 4 côtés par des terrains d’habitation, l’un chemin
et d’une voie rapide.
L’E.H.P.A.D. se développe en forme de couronne sur trois étages L’architecture rigoureuse traduit à la fois la quête d’un équilibre volontairement assumé mais sait aussi se
montrer pertinente quand il faut intégrer ce bâtiment dans un environnement patrimonial ancien.

L’identité du bâtiment se construit progressivement autour de ces propositions :
1. Les façades se courbent et forme une enveloppe « tout en douceur » qui se déroule autour d’un patio centré sur l’édifice.
2. Le décalage du rythme de la fenestration, associé, aux angles du bâtiment traités tout en courbe, confère au bâtiment son identité singulière.
3. La peau du bâtiment, réalisée en enduit blanc, est lumineuse et naturelle à l’image de la pierre. Dans un souci de simplicité mais aussi d’authenticité, le matériau de
façade retenu, favorise l’insertion du bâtiment dans son environnement.

Le traitement paysager est organisé autour de 3 jardins et d’un patio

Au-delà de ces jardins, des espaces verts sont aménagés sur les espaces médians avec les immeubles d’habitation voisins.

Les espaces de jardins dévolus au PASA et à l’UPPD sont forcément limités et sécurisés. Pour éviter l’effet de ségrégation, plusieurs idées sont au cœur de nos préoccupations
et de notre proposition :

1. Utiliser des plantes de couvrement et des arbres favorisant une relation douce et sensible avec les résidents
2. Arborer les limites de propriété comme des fonds de scènes pour dégager au maximum les vues et construire ainsi le paysage
3. Produire des jeux d’ombres sur les terrasses et balcons

Les jardins sont composés de telle sorte qu’aucun espace ne soit caché à la surveillance, mais leur taille permet de les étoffer produisant une sensation de confort et de
protection.
Aussi, le pourtour traité en haie toujours en feuilles (charmes marcescents) constitue un écran naturel au vent et préserve l’intimité des résidents.
Un cheminement dessiné par les treilles est à la fois protecteur du soleil et du vent et à la fois un guide de la promenade.

Enfin, le patio, lien visuel entre les différentes parties de cet établissement permet aux résidents, à la mi-saison, de pouvoir profiter de vues sur un espace extérieur
harmonieux de contemplation.

Au cœur de ce jardin, trois espaces particuliers reprennent cette écriture : le jardins UPPD et le jardin du PASA. On y déambule autour d’un massif composé entre autres de
magnolias et spirées qui émergent des allées. Outre la lisière, un rideau de faux-jasmin, pommiers et charme vient clôturer avec délicatesse ces espaces.

EHPAD Montmagny (95)

Créer un bâtiment compact qui renforce la trame urbaine et fasse le lien entre les différents types de tissus urbains qui l’entourent, entre les diverses typologies architecturales,
entre les différentes hauteurs de bâti, du pavillonnaire et des grands ensembles, qui témoignent des profondes mutations subiesdepuis une cinquantaine d’années par Montmagnyqui fait partie de la Communauté d’Agglomération de la Vallée de Montmorency.
Imaginer l’organisation spatiale interne de façon à superposer les lieux de rencontre, les espaces communs et à les ouvrir sur la rue principale, tout en préservant une double orientation.

 

EHPAD Goussainville (95)

Introduire de l’urbanité, c’est-à-dire du savoir-vivre ensemble, dans un environnement pavillonnaire, par le biais d’un EHPAD, telle est l’ambition
de ce projet. C’est pourquoi le bâtiment établit un dialogue avec l’espace de la rue vers laquelle il s’ouvre largement. Son implantation permet de créer une sorte de place, séparée de l’espace public par une clôture légère et transparente. L’enveloppe en bois local vient souligner la volonté d’en faire un lieu de socialisation accueillant.

EHPAD Longpont-sur-Orge (91)

La restructuration lourde du Pavillon d’Orléans a permis d’aménager 35 chambres autour de la cour. Ce Pavillon fait partie des communs du château de Lormoy, ayant appartenu à la famille de raffineurs Say et servi de résidence d’été à Léopold II, roi des Belges, en 1906 et 1907. Sur chaque niveau la salle commune est au cœur du dispositif, espace ouvert et lumineux qui facilite la sociabilité et assure un cadre serein aux résidents.Toutes les circulations disposent d’un éclairage naturel.

EHPAD Laon (02)

Le projet permet de valoriser la relation qu’entretient la maison de retraite avec le grand paysage et son parc et d’améliorer son insertion urbaine en qualifiant l’entrée de ville. Le bâti se développe sur un seul niveau et sa volumétrie est imaginée en référence à la maison individuelle, afin d’introduire une dimension domestique, aussi bien en termes d’organisation spatiale que de forme urbaine. Le projet est donc imaginé comme un morceau de ville et comme un liant qui assure la cohésion humaine, favorise la communication et les échanges et fédère les bâtis disparates. En tant que morceau de ville, l’EHPAD est structuré autour de plusieurs jardins-squares.Les places, espaces où se déroulent les différentes activités et animations, les salles à manger, les salons, donnent sur ces patios et sont toujours au cœur du dispositif, qu’il s’agisse de l’ensemble de l’EHPAD, des nouvelles unités d’accueil, Alzheimer et psycho-gériatrie, ou de la future extension. Le même principe est ainsi décliné à différentes échelles.

Crèche EHPAD et commerce à Saint-Germain-en-Laye ( 78)

Le bâtiment, qui répond à de multiples enjeux urbains, naît d’une volonté d’affirmer fortement et d’exprimer formellement les liens entre les divers usagers, les différentes classes d’âge, les habitants du quartier et ceux qui viendront y travailler.

Il participe à la fabrication d’un front bâti qui sert d’interface entre la route et le nouveau quartier, assure une perméabilité visuelle d’est en ouest pour connecter ce quartier à la forêt de Saint-Germain-en-Laye et associe l’échelle domestique de l’habitat environnant et le paysage forestier à travers une volumétrie compacte.

Le patio, cœur du projet, participe aux relations et aux échanges entre les enfants de la crèche et les résidents de l’EHPAD. Végétalisé, il apporte de la fraîcheur en été et représente une terrasse abritée du vent qui permet de profiter de l’intersaison.

Le volume de l’édifice, ainsi percé, favorise le repérage spatial et temporel et les relations visuelles.

L’enveloppe du bâtiment se déploie, en fonction de l’orientation, alternant surfaces vitrées et panneaux de bois prépatiné qui rythment le bâtiment et accentuent sa verticalité.

EHPAD Saint-Martin-de-Fontenay (14)

 Il s’agit d’un programme qui s’adapte aux dernières dispositions d’accompagnement et de prévention des nouvelles pathologies, maladie d’Alzheimer et toutes formes de démences séniles. Il a été imaginé afin que les espaces s’adaptent parfaitement au fonctionnement de l’établissement dans le respect et pour le bien être de ses occupants.

 Afin de garantir la sécurité et la surveillance des patients, le projet a été conçu comme un lieu refermé. Un principe d’espaces clos qui s’applique aussi bien à l’intérieure en regroupant les chambres autour des unités de vie, qu’à l’extérieur en regroupant les bâtiments autour d’un patio.

 Cet espace est organisé comme un cloître propice à la détente comme à la promenade en évitant toute possibilité de cul de sac. Son calage altimétrique détermine l’ensemble de l’Implantation des constructions pour présenter un niveau uniforme du rez-de-chaussée. Il détermine également le niveau des jardins extérieurs clos pour permettre la libre déambulation des patients en supprimant toute possibilité de franchissement.

Les constructions abritent:

un espace réservé à l’accueil et à l’administration,

un espace de restauration réservé également à l’entretien et à l’intendance,

deux unités de vie Identiques et disposés symétriquement comprenant, un local de soins, les chambres, l’unité de jour(salon salle à manger), un coiffeur et les locaux des différents intervenants médicaux et des sanitaires et pièces de services.

L’insertion dans le site est respectueuse de l’esprit du parc.

Le projet étant réalisé sur un terrain relativement vallonné, son implantation résulte à la fois de la volonté de limiter au maximum les mouvements de terre, tout en conservant une planimétrie satisfaisante et en permettant de régler les impératifs liés aux réseaux.

Les façades sont largement vitrées afin de permettre au x pensionnaires d’être visuellement en lien direct avec le patio ainsi que le parc.

Le bâtiment habillé d’une peau en bardeaux de bois se marie harmonieusement avec les bâtiments adjacents.

Implanté en fond de parcelle, aux abords de l’ancienne route départementale n0233 pour permettre la réalisation d’extensions futures, le projet est accessible depuis la rue du Canada pour ne pas créer d’accès nouveau depuis la départementale n0562, conformément au POS.

EHPAD Vaugrigneuse (91)

Extension et restructuration du château de la Fontaine aux Cossons (début XXe siècle). Chambres ouvrant sur le paysage rural et le chemin de randonnée, visant à révéler le lit d’un ancien ruisseau.

Technique constructive basée sur l’utilisation de prémurs et le développement de panneaux préfabriqués en béton, teintés dans la masse.