Résidence seniors Mézy-sur-Seine (78)

Mézy-sur-Seine est une commune de 2000 habitants située dans le parc naturel régional du Vexin français.
La résidence seniors réunit une maison de maître du XIXe siècle et une construction récente, dissimulée pour profiter de la déclivité naturelle du terrain et du jardin et pour minimiser l’impact sur le paysage environnant. Les chambres s’ouvrent vers le sud et offrent des vues vers le jardin. L’organisation spatiale et le principe structurel qui en découle sont facilement lisibles.

EHPAD Ablis (78)

L’EHPAD s’organise autour de sa relation avec la ville. L’espace de vie, la « place du village », est associé au parvis d’entrée et au jardin. Une perméabilité s’installe par son biais avec le patio central, qui crée des liens visuels entre les résidants des diverses unités.

EHPAD Draveil (91)

Les intentions du projet sont les suivantes :

Créer un bâti intégrant les contraintes urbaines et topographiques, en s’insérant au mieux dans l’environnement urbain des alentours.

Eviter la création de masque vis-à-vis des propriétés voisines.

Simplicité de lecture et de compréhension de l’organisation du bâtiment pour les utilisateurs

Un bâtiment adapté aux handicaps des personnes âgées.

L’établissement projeté comportera 37 chambres et 38 lits.

Le nouveau bâti adoptera la volumétrie de la construction existante et se situera au centre du terrain.

L’ EHPAD (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) se compose de trois volumes comportant un rez-de-jardin, un rez-de-chaussée et un premier étage.

L’ensemble est recouvert d’une toiture terrasse accessible depuis un escalier métallique extérieur. Ces terrasses seront en majeure partie végétalisée. Conformément au code du travail, elles seront munies de garde-corps rétractables. La petite terrasse du R+1, par laquelle transite l’escalier ne sera pas accessible. Une grille, dans le prolongement de l’escalier empêche l’accès et sécurise le passage des utilisateurs. L’escalier dessert directement la terrasse végétalisée.

Deux parallélépipèdes en retrait sur l’avenue Gambetta et l’avenue Granger de même dimension et volumétrie et un troisième volume plus petit effectue la jonction entre les deux précédents. Le retrait par rapport aux avenues permet de trouver jardins et aire de livraison sur l’avenue Granger et places de stationnement et jardin sur l’avenue Gambetta. Le corps central faisant jonction permet de trouver 2 patios au rez-de-jardin permettant un apport de lumière au cœur des 2 bâtiments. L’entrée principale s’effectuera coté avenue Granger et une entrée annexe coté avenue Gambetta.

Les façades du projet sont rythmées par l’alternance de bandes verticales composées de menuiseries bois et (ou) de panneau composite bois et d’un treillage en bois fait de tasseaux verticaux.

Les façades du corps central donnant sur les patios adoptent un rythme légèrement différent. Celles-ci sont  beaucoup plus éclairées alternant menuiseries et panneaux composites bois.

Les menuiseries en bois sont toutes munies d’allèges vitrées fixes.

Les deux entrées sont marquées par un redent au niveau du rez-de-chaussée.

L’entrée piétonne et les livraisons se feront Avenue Granger et celle des véhicules Avenue Gambetta.

Nous conservons la majorité des arbres composés essentiellement de résineux et de platanes. 3 arbres vont être abattus pour permettre la construction de l’EHPAD et remplacés par des prunus qui agrémenteront les places de stationnement Avenue Gambetta.

Les deux patios du rez-de-jardin seront engazonnés et plantés d’arbustes.

La majeure partie de la terrasse (sauf terrasse technique) sera recouverte de végétalisations extensives.

Une partie du pignon coté Est sera agrémenté de plantes grimpantes, en l’occurrence du lierre.

Logements Fontainebleau (77)

L’immeuble forme l’angle entre la rue Guérin et une place carrée. Imaginé en brique afin de s’intégrer dans son environnement, dont il se distingue pourtant par sa volumétrie, le bâtiment regroupe les 8 logements (dont les surfaces sont supérieures aux standards en vigueur) en deux plots. Les appartements bénéficient d’une double, voire d’une triple orientation.

EHPAD Boissise-la-Bertrand (77)

Situé dans le centre d’une commune d’un millier d’habitants, entre la Seine et la forêt, l’EHPAD dialogue avec son environnement grâce aux transparences, aux doubles orientations et aux percées visuelles qui ont été ménagées, y compris dans la galerie de service.

 

EHPAD Fontenay-Trésigny (77)

Situé au centre d’un bourg briard qui compte 5000 habitants et dont il respecte l’échelle, l’EHPAD est visible depuis la place de l’église et le château du duc d’Epernon. L’espace intérieur s’organise autour du jardin ménagé en cœur d’îlot. Les deux UPPD occupent une aile séparée.

EHPAD – Château Landon (77)

L’ensemble, aujourd’hui, se présente comme un pavé bâti dont le cœur s’ouvre sur une cour intérieure.

L’établissement est composé de plusieurs bâtiments de types  et de constructions différentes.

Le programme du projet consiste :

-à mettre en conformité l’établissement et son extension dans le cadre de l’accessibilité handicapés et des contraintes de sécurité incendie,

– à intégrer une salle de bains pour chaque chambre (actuellement : une salle d’eau pour deux chambres),

– à rendre les zones de vie accessibles aux personnes handicapées,

– à augmenter la capacité d’accueil en créant des chambres complémentaires dans une extension reliée au bâtiment existant,

– à créer une unité réservée aux personnes atteintes de la maladie d’Elsheimer (« UPPD »).

L’établissement projeté comportera 90 chambres, en totalisant 101 lits.

Pour le bâtiment existant, le parti architectural conserve l’esprit des masses existantes.

L’extension s’intègre discrètement sur le terrain, elle est parallèle à la façade nord-est du bâtiment existant.

Les modifications apportées seront les suivantes :

– extensions du bâtiment existant en rez-de-chaussée d’environ 1,50 mètres sur les façades sud-ouest, nord-ouest et nord-est,

– extension au nord-est reliée au bâtiment existant de 12 mètres de large et 50,40 mètres de long.

Les ajouts sur l’existant permettront d’unifier l’ensemble. Les façades des extensions seront traitées comme des surfaces planes et homogènes, en évitant toute modénature ou ouvrage venant en excroissance de ces surfaces.

 

EHPAD Crouy-en-Thelle (60)

Situé dans une commune picarde du Pays de Thelle qui compte un millier d’habitants, l’EHPAD se compose d’un bâtiment existant donnant sur rue et d’un bâtiment neuf situé entre cour et jardin. La transparence du rez-de-chaussée assure une continuité visuelle et donne à voir le jardin à l’anglaise.

EHPAD – Argenteuil (93)

Le projet a pris place dans les murs d’une ancienne clinique. Les contraintes urbaines et financières nous ont amenés à réduire les extensions au maximum tout en répondant au programme dense demandé par le Maître d’Ouvrage.

Il a fallut curer l’ensemble des locaux intérieurs tout en contournant les points durs structurels, les chambres existantes ne répondant pas aux surfaces minimales.

Les volumes de la clinique étant une succession d’extensions, notre intervention s’est logiquement appliquée à unifier l’aspect les volumes afin que l’EHPAD se présente comme une ensemble cohérent.

EHPAD Esches (60)

L’EHPAD est implanté dans une commune de l’Oise de 1200 habitants. Il se situe sur un plateau, en bordure du bois d’Esches, environ 20 m au-dessus de la route et de la rivière du même nom. Afin d’embrasser ce paysage composé de boisements et de cultures, les deux ailes du bâtiment qui abritent les chambres s’écartent pour accueillir au centre les lieux de vie qui s’ouvrent largement vers le sud, vers la vallée. La tuile plate, tuile historique du bassin parisien, est employée pour l’ensemble de l’enveloppe, en lui associant divers principes de pose et diverses utilisations, selon qu’il s’agit du toit, de la façade, des pignons doublés d’une structure en bois ou des claustras qui entourent les espaces communs et où la tuile plate sert de brise-soleil.  

L’EHPAD est implanté dans une commune de l’Oise de 1200 habitants. Il se situe sur un plateau, en bordure du bois d’Esches, environ 20 m au-dessus de la route et de la rivière du même nom. 

Afin d’embrasser ce paysage composé de boisements et de cultures, les deux ailes du bâtiment qui abritent les chambres s’écartent pour accueillir au centre les lieux de vie qui s’ouvrent largement vers le sud, vers la vallée.

La tuile plate, tuile historique du bassin parisien, est employée pour l’ensemble de l’enveloppe, en lui associant divers principes de pose et diverses utilisations, selon qu’il s’agit du toit, de la façade, des pignons doublés d’une structure en bois ou des claustras qui entourent les espaces communs et où la tuile plate sert de brise-soleil.