EHPAD Maisons-Laffitte (78)

Mis en avant

La réalisation est implantée à Maisons-Laffitte dans une parcelle triangulaire, face au plus ancien hippodrome de la région parisienne, qui s’étend sur la rive nord de la Seine. Situé dans une zone à risque du PPRI (Plan de Prévention des Risques d’Inondations), le terrain se trouve dans le « petit parc » du château de Maisons-Laffitte. Il est bordé par un espace inscrit au titre des Monuments Historiques. Le parti pris architectural et urbain a été de mettre en valeur la vue sur le paysage environnant (l’hippodrome et la Seine) et les caractéristiques formelles de la parcelle. Ces contraintes ont permis d’éviter la monotonie d’un alignement sur rue en cadrant la vue depuis chaque chambre. Une terrasse panoramique accessible surplombe le champ de courses. L’accentuation de l’horizontalité et l’utilisation du bois permettent d’inscrire discrètement le bâti dans ce paysage. Les espaces communs et de rencontres s’organisent entre patio et jardin et jouissent d’une double orientation. Par ailleurs, les circulations bénéficient d’éclairage et de ventilation naturels, ce qui rend plus lisibles les usages des espaces intérieurs par les utilisateurs.
D’un point de vue constructif, il s’agit de préfabrication lourde et d’utilisation du système Balloon Frame.

EHPAD – Robion (84)

Les travaux porteront principalement sur le réaménagement de l’entrée et de l’accueil, de certains locaux et la création d’une unité dédiée aux personnes désorientées au rez-de-chaussée dans le bâtiment existant.

Au sous-sol, il sera créé trois bureaux en lieu et place de l’ancienne salle à manger.

Au rez-de-chaussée, trois lits supplémentaires viendront compléter ceux existants.

La nouvelle unité dédiée aux personnes désorientées totalisera dix lits. L’ancien pavillon administratif sera converti en espace de vie et de détente, et en deux des trois chambres créées.

Au premier étage, il sera créé quatre lits dans l’ancien pavillon administratif.

Le deuxième étage ne subira aucune modification.

EHPAD Montmagny (95)

Créer un bâtiment compact qui renforce la trame urbaine et fasse le lien entre les différents types de tissus urbains qui l’entourent, entre les diverses typologies architecturales,
entre les différentes hauteurs de bâti, du pavillonnaire et des grands ensembles, qui témoignent des profondes mutations subiesdepuis une cinquantaine d’années par Montmagnyqui fait partie de la Communauté d’Agglomération de la Vallée de Montmorency.
Imaginer l’organisation spatiale interne de façon à superposer les lieux de rencontre, les espaces communs et à les ouvrir sur la rue principale, tout en préservant une double orientation.

 

EHPAD Goussainville (95)

Introduire de l’urbanité, c’est-à-dire du savoir-vivre ensemble, dans un environnement pavillonnaire, par le biais d’un EHPAD, telle est l’ambition
de ce projet. C’est pourquoi le bâtiment établit un dialogue avec l’espace de la rue vers laquelle il s’ouvre largement. Son implantation permet de créer une sorte de place, séparée de l’espace public par une clôture légère et transparente. L’enveloppe en bois local vient souligner la volonté d’en faire un lieu de socialisation accueillant.

EHPAD Longpont-sur-Orge (91)

La restructuration lourde du Pavillon d’Orléans a permis d’aménager 35 chambres autour de la cour. Ce Pavillon fait partie des communs du château de Lormoy, ayant appartenu à la famille de raffineurs Say et servi de résidence d’été à Léopold II, roi des Belges, en 1906 et 1907. Sur chaque niveau la salle commune est au cœur du dispositif, espace ouvert et lumineux qui facilite la sociabilité et assure un cadre serein aux résidents.Toutes les circulations disposent d’un éclairage naturel.

EHPAD Laon (02)

Le projet permet de valoriser la relation qu’entretient la maison de retraite avec le grand paysage et son parc et d’améliorer son insertion urbaine en qualifiant l’entrée de ville. Le bâti se développe sur un seul niveau et sa volumétrie est imaginée en référence à la maison individuelle, afin d’introduire une dimension domestique, aussi bien en termes d’organisation spatiale que de forme urbaine. Le projet est donc imaginé comme un morceau de ville et comme un liant qui assure la cohésion humaine, favorise la communication et les échanges et fédère les bâtis disparates. En tant que morceau de ville, l’EHPAD est structuré autour de plusieurs jardins-squares.Les places, espaces où se déroulent les différentes activités et animations, les salles à manger, les salons, donnent sur ces patios et sont toujours au cœur du dispositif, qu’il s’agisse de l’ensemble de l’EHPAD, des nouvelles unités d’accueil, Alzheimer et psycho-gériatrie, ou de la future extension. Le même principe est ainsi décliné à différentes échelles.

Crèche EHPAD et commerce à Saint-Germain-en-Laye ( 78)

Le bâtiment, qui répond à de multiples enjeux urbains, naît d’une volonté d’affirmer fortement et d’exprimer formellement les liens entre les divers usagers, les différentes classes d’âge, les habitants du quartier et ceux qui viendront y travailler.

Il participe à la fabrication d’un front bâti qui sert d’interface entre la route et le nouveau quartier, assure une perméabilité visuelle d’est en ouest pour connecter ce quartier à la forêt de Saint-Germain-en-Laye et associe l’échelle domestique de l’habitat environnant et le paysage forestier à travers une volumétrie compacte.

Le patio, cœur du projet, participe aux relations et aux échanges entre les enfants de la crèche et les résidents de l’EHPAD. Végétalisé, il apporte de la fraîcheur en été et représente une terrasse abritée du vent qui permet de profiter de l’intersaison.

Le volume de l’édifice, ainsi percé, favorise le repérage spatial et temporel et les relations visuelles.

L’enveloppe du bâtiment se déploie, en fonction de l’orientation, alternant surfaces vitrées et panneaux de bois prépatiné qui rythment le bâtiment et accentuent sa verticalité.